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L'essentiel de l'actualité européenne et française d'un secteur en pleine mutation
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A la Une
La Lettre ferroviaire 316
Le nouveau train RER NG entre progressivement en service commercial sur la ligne E du RER. Les aménagements intérieurs doivent fluidifier les flux voyageurs.
Le RER Nouvelle génération (NG), à droite, va progressivement remplacer les automotrices Z 22500, à gauche, sur la ligne E du RER francilien. La photo a été prise en gare de Gagny, le 8 novembre 2021, alors que la rame 001K Z 58001/002 stationne sur la voie de la base d’essais du système de sécurité et de signalisation NExTEO. Mise en service le 24 mai 2020, la base comprend une voie de 1,9 km (de Gagny à Chenay-Gagny), une voie de garage et une fosse de visite. L’automotrice n°14 E Z 22527/528 assure une mission COHI Haussmann - Saint-Lazare - Chelles-Gournay.
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Photo : Christophe Masse
Le RER Nouvelle génération (NG), à droite, va progressivement remplacer les automotrices Z 22500, à gauche, sur la ligne E du RER francilien. La photo a été prise en gare de Gagny, le 8 novembre 2021, alors que la rame 001K Z 58001/002 stationne sur la voie de la base d’essais du système de sécurité et de signalisation NExTEO. Mise en service le 24 mai 2020, la base comprend une voie de 1,9 km (de Gagny à Chenay-Gagny), une voie de garage et une fosse de visite. L’automotrice n°14 E Z 22527/528 assure une mission COHI Haussmann - Saint-Lazare - Chelles-Gournay.
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Photo : Christophe Masse
La Lettre ferroviaire 315
Railpool s’établit en France. Une commande de 50 locomotives dotées des systèmes français de sécurité et de signalisation a été passée.
« Beaucoup de nos clients sont de taille modeste et ont besoin d’être agiles pour faire face aux enjeux du marché », met en évidence Torsten Lehnert, PDG de Railpool. Et d’ajouter que « le cœur de notre modèle économique est le full service leasing », autrement dit, le « tout-en-un ».
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Photo : Railpool
« Beaucoup de nos clients sont de taille modeste et ont besoin d’être agiles pour faire face aux enjeux du marché », met en évidence Torsten Lehnert, PDG de Railpool. Et d’ajouter que « le cœur de notre modèle économique est le full service leasing », autrement dit, le « tout-en-un ».
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Photo : Railpool
La Lettre ferroviaire 314
Les essais continuent tambour battant sur le réseau classique et à grande vitesse. Les quatre trains de présérie seront tous en ligne à partir de fin février-début mars 2024.
Le 13 octobre 2023, le TGV M n°998 roule vers Poitiers et la LGV Sud Europe Atlantique. Cette rame réalise les essais des Équipements de sécurité – EQS (KVB, TVM, ETCS etc.) Le train est ici photographié à Épinay-sur-Orge.
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Photo : Christophe Masse
Le 13 octobre 2023, le TGV M n°998 roule vers Poitiers et la LGV Sud Europe Atlantique. Cette rame réalise les essais des Équipements de sécurité – EQS (KVB, TVM, ETCS etc.) Le train est ici photographié à Épinay-sur-Orge.
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Photo : Christophe Masse
La Lettre ferroviaire 313
Lineas se transforme pour gagner en rentabilité. L’entreprise ferroviaire se concentre sur des offres identifiées qu’elle peut produire en qualité.
Lineas réexamine en permanence le portefeuille clients et assure « ne pas hésiter à arrêter un produit non rentable ». L’opérateur a par conséquent décidé de stopper le Green Xpress Network (GXN) jugé « trop complexe et trop déficitaire ». La photo ci-dessus montre un train transfrontalier franco-belge assuré par la locomotive interopérable BR 186 252, à Mouscron, le 14 septembre 2019.
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Photo : Laurent Charlier
Lineas réexamine en permanence le portefeuille clients et assure « ne pas hésiter à arrêter un produit non rentable ». L’opérateur a par conséquent décidé de stopper le Green Xpress Network (GXN) jugé « trop complexe et trop déficitaire ». La photo ci-dessus montre un train transfrontalier franco-belge assuré par la locomotive interopérable BR 186 252, à Mouscron, le 14 septembre 2019.
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Photo : Laurent Charlier
La Lettre ferroviaire 312
Un déraillement et un éboulement perturbent le trafic ferroviaire transalpin et posent à nouveau la question de la résilience du réseau européen.
Photo du portail est du tunnel de la Brèche, situé à Freney, près de Saint-André. L’éboulement du 27 août 2023 a entraîné la fermeture au trafic de la ligne de la Maurienne. Des expertises sont en cours, la réouverture pourrait prendre plusieurs mois. Les opérateurs doivent composer avec le peu d’itinéraires alternatifs disponibles.
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Photo : SNCF Réseau
Photo du portail est du tunnel de la Brèche, situé à Freney, près de Saint-André. L’éboulement du 27 août 2023 a entraîné la fermeture au trafic de la ligne de la Maurienne. Des expertises sont en cours, la réouverture pourrait prendre plusieurs mois. Les opérateurs doivent composer avec le peu d’itinéraires alternatifs disponibles.
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Photo : SNCF Réseau
La Lettre ferroviaire 311
La liaison entre Belfort, Delle et la suisse, rouverte en 2018, a du mal à séduire.La décision de généraliser les correspondances à Delle n’infléchirait pas la tendance.
En gare de Delle, l’automotrice Flirt RABe 522 (à gauche) est prête au départ pour Bienne, le 2 février 2019. À droite, une ZGC Z 27500 repartira vers Belfort.Le changement entre les trains français et suisses en gare de Delle deviendra systématique en décembre 2025.
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Photo : Wikimedia - Phil Richards - Creative Commons
En gare de Delle, l’automotrice Flirt RABe 522 (à gauche) est prête au départ pour Bienne, le 2 février 2019. À droite, une ZGC Z 27500 repartira vers Belfort.Le changement entre les trains français et suisses en gare de Delle deviendra systématique en décembre 2025.
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Photo : Wikimedia - Phil Richards - Creative Commons
La Lettre ferroviaire 310
Avant l’échéance du 25 décembre 2023,
la région va renouveler une convention d’exploitation avec la SNCF et démarrer le processus d’ouverture à la concurrence.
Photo des voies de garage du site de Vénissieux du Technicentre Auvergne-Rhône-Alpes avec, au premier plan, la rame TER 2N NG tricaisse n°316 Z24531/532. La région souhaite activer le transfert de propriété du matériel roulant et des ateliers dédiés au TER.
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Photo : Laurent Charlier
la région va renouveler une convention d’exploitation avec la SNCF et démarrer le processus d’ouverture à la concurrence.
Photo des voies de garage du site de Vénissieux du Technicentre Auvergne-Rhône-Alpes avec, au premier plan, la rame TER 2N NG tricaisse n°316 Z24531/532. La région souhaite activer le transfert de propriété du matériel roulant et des ateliers dédiés au TER.
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Photo : Laurent Charlier
La Lettre ferroviaire 309
Le dispositif de corbeille r2L permet la manutention de semi-remorques non préhensibles et, par conséquent, une certaine accélération du report modal.Lire la suite dans La lettre ferroviaire
La corbeille r2L vient s’intercaler entre la semi-remorque et le wagon-poche classique en offrant les ergots de préhension nécessaires aux opérations de manutention par portique ou reach stacker. Cela élargit considérablement le parc de semi-remorques éligibles au transport combiné rail-route par wagons-poches.
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Photo : Laurent Charlier
La corbeille r2L vient s’intercaler entre la semi-remorque et le wagon-poche classique en offrant les ergots de préhension nécessaires aux opérations de manutention par portique ou reach stacker. Cela élargit considérablement le parc de semi-remorques éligibles au transport combiné rail-route par wagons-poches.
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Photo : Laurent Charlier
La Lettre ferroviaire 308
Une liaison entre les Pays-Bas, la Belgique et la France est à l’étude. L’un des points cruciaux à prospecter concerne le matériel roulant interopérable requis.
La demande d’Arriva comprend aujourd’hui deux scénarios de roulements sur une journée, en fonction du matériel roulant disponible. Dans le cas d’un matériel autorisé à 200 km/h, il s’agirait d’enchaîner Groningue - Paris, puis Paris - Bruxelles, Bruxelles - Paris et Paris - Groningue. Et dans le cas d’un matériel à très grande vitesse, les trajets Groningue - Paris, Paris - Amsterdam, Amsterdam - Paris et Paris - Groningue seraient enchaînés.
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Document : Autoriteit Consument en Markt
La demande d’Arriva comprend aujourd’hui deux scénarios de roulements sur une journée, en fonction du matériel roulant disponible. Dans le cas d’un matériel autorisé à 200 km/h, il s’agirait d’enchaîner Groningue - Paris, puis Paris - Bruxelles, Bruxelles - Paris et Paris - Groningue. Et dans le cas d’un matériel à très grande vitesse, les trajets Groningue - Paris, Paris - Amsterdam, Amsterdam - Paris et Paris - Groningue seraient enchaînés.
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Document : Autoriteit Consument en Markt
La Lettre ferroviaire 307
L’Europe estime illégales des opérations financières ayant eu trait à Fret SNCF. Un remboursement liquiderait l’activité. Une lourde transformation est envisagée.
La création de nouvelles entités est la seule disposition à même, selon le ministère des Transports, d’offrir la garantie d’une « discontinuité » avec l’opérateur Fret SNCF visé par la procédure et, par conséquent, d’effacer ledit remboursement. Cette rupture entraînerait toutefois la cession de 30 % des flux, soit 20 % du chiffre d’affaires et 10 % du personnel de l’entreprise historique, correspondant à des contrats de transport dédiés à des chargeurs uniques.
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Photo : Laurent Charlier
La création de nouvelles entités est la seule disposition à même, selon le ministère des Transports, d’offrir la garantie d’une « discontinuité » avec l’opérateur Fret SNCF visé par la procédure et, par conséquent, d’effacer ledit remboursement. Cette rupture entraînerait toutefois la cession de 30 % des flux, soit 20 % du chiffre d’affaires et 10 % du personnel de l’entreprise historique, correspondant à des contrats de transport dédiés à des chargeurs uniques.
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Photo : Laurent Charlier
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